200 FOIS PLUS
On associe souvent à l'homosexualité une sexualité débridée et de nombreux partenaires (on est moins nombreux mais on arrive cependant à avoir des partenaires multiples facilement, sans doute parce qu'on enlève plus facilement nos "barrières sexuelles" que ne le font les femmes vis à vis des hommes parce qu'elles ont peur de passer pour des salopes), c'est parfois vrai mais il ne faut pas généraliser (les clubs échangistes libertins hétéros existent aussi etc...). Cependant être homo c'est être statistiquement inégal devant une maladie sexuellement transmissible lourde et irréversible (une fois chopée cette maladie, tu ne peux pas t'en débarrasser): en effet si tu es homo tu as 200 fois plus de risques d'attraper le sida qu'un hétéro, c'est statistique. La solution face à cette statistique moche, c'est bien sûr de se protéger, à savoir utiliser des préservatifs lors des pénétrations et ne pas prendre de sperme dans la bouche (comme on le voit souvent dans les pornos gays d'aujourd'hui), même si ton partenaire du moment pense être clean (parce que certaines personnes sont malades sans le savoir et sans que ça se voit).
ON REMBALLE OU LA FIN DE L'ETE
La fin de l'été approche, dans une dizaine de jours c'est officiellement l'automne, les serviettes de plage et les shortys de bain vont bientôt être de nouveau rangés dans l'armoire. L'été a été trop court, mais j'en ai profité: bronzage et conquête(s) d'un jour ont agrémentés mes après-midi plage, comme vous avez pu le lire parfois sur ce blog. Beaucoup de relations d'un jour mais pas de rencontres magiques pour plus que du c*l (l'été dernier j'avais fait une belle rencontre: mon parisien). J'aurais bien aimé que ça se poursuive un peu encore. Ça va être épouvantablement long d'attendre neuf mois afin de retourner à la plage. Je me suis tapé beaucoup de mecs, mais au final je suis bredouille. Je me suis rendu compte que je ne cherche pas un mec... Pourquoi? Parce que j'ai toujours dans mon viseur un mec en particulier... mon fameux collègue de travail que je kiffe grave. On se rapproche amicalement et c'est déjà beaucoup, le truc que j'ai compris avec lui c'est que je ne dois pas brusquer les choses, mais aller doucement et le mettre en confiance afin qu'il gomme une image de moi faussée d'hétéro et de citadin préférant la ville à la campagne.