2010 a été riche en événements de diverses natures, le dernier en date étant dramatique (un ami d'enfance a choisi de quitter ce monde). Mais 2010 c'est aussi pour moi la parution d'un petit article au sujet de mon blog dans un magazine national, le magazine gay Têtu de juin 2010, et un peu plus vous auriez eu droit a une photo de moi dans le magazine (chez moi ou dans ma ville, mais de dos parce que je veux rester anonyme) puisque le journaliste me proposait d'envoyer un photographe chez moi pour illustrer le sujet, mais j'ai refusé, trop timide. 2010 c'est aussi l'année du rapprochement avec mon fameux collègue de travail, un rapprochement qui s'est fait petit à petit, c'est mon rayon de soleil au travail, quelqu'un qui est très important à mes yeux puisque je suis secrètement amoureux de lui, je suis aussi conscient que ça peut aussi devenir une source de souffrance parce qu'il peut ne rien avoir entre lui et moi et je garde cette hypothèse à l'esprit comme garde-fou, mais je vous jure ses fesses sont à croquer, il est adorable, super beau, a un côté gentleman, est intelligent,  a une belle voix, bref je suis fan comme vous vous en doutez, et c'est le premier mec qui provoque chez moi des érections en plein boulot de manière récurrente. 2010 a aussi été marqué par un été très chaud niveau sexe, le compteur a explosé avec tous ces plans dans les dunes à deux, à trois à plusieurs reprises... mais aussi une fois carrément à quatre (avec un super méga bogosse), bref beaucoup de souvenirs sexuels auxquels je repense parfois avec un grand smile dans ces journées froides de fin d'année où mon activité sexuelle est moins explosive, même si je vais régulièrement me réchauffer au sauna (d'ailleurs faudra que je vous raconte ça). 2010 c'est aussi un nouvel ami gay, un ami avec qui il n'y a pas d'ambiguïté, et ça c'est super important.

Chers lecteurs, ce post est un peu particulier... il va un peu dénoter par rapport aux articles habituels. Je préviens tout de suite que ce n'est pas très joyeux.
C'est la première fois que je vis cela. Je vais essayer d'écrire un truc correct malgré mon état. Il y a plusieurs jours j'ai appris une chose concernant une personne particulière, une personne très importante qui a marqué ma vie puisque cette personne a été mon meilleur ami pendant une quinzaine d'années depuis l'adolescence. On ne donne pas le titre de meilleur ami à n'importe qui, on n'en a pas trente-six dans une vie. Aujourd'hui il n'est plus là: il s'est suicidé... J'ai assisté à son enterrement. Il avait mon âge, nous avons été en classe ensemble, nous nous sommes fréquentés pendant de nombreuses années avec des coupures ces dernières années à cause de l'éloignement géographique et de diverses autres préoccupations de jeunes adultes (histoires amoureuses...). Il a indéniablement marqué une période de ma vie, c'est une tranche de vie qui refait surface avec sa disparition voulue, jamais je n'aurais pensé qu'il se serait suicidé, il a fait de brillantes études, son dernier mail de fin septembre était pétillant et ne laisser rien présager. C'est ensemble que nous avons fumé notre première cigarette à l'adolescence, nous gardions à tour de rôle le paquet de cigarettes chez nous. Nous avons fait nos premières boîtes ensemble. Nous sommes tous les deux allés pour la première fois dans un sex shop  nous y avions acheté une k7 porno (hétéro bien sûr) que nous nous passions à tour de rôle. Que de souvenirs ensemble. Et puis tous ces week ends, ces centaines de week ends que nous avons passé ensemble uniquement tous les deux ou également avec d'autre amis de la bande, tous ces films que nous avons vu ensemble au ciné (dont le film des Spice Girls!!), toutes ces soirées, tous ces monacos bus dans les bars, toutes ces parties de billard que nous avons faites... et toutes ces discussions dans lesquelles nous partagions nos points de vue, il me faisait rire, nous nous faisions rire, je le surprenais, il me surprenait... il aura été surprenant jusqu'au bout... sauf que son ultime surprise n'a pas été drôle... mais dramatique. Putain, j'ai enterré un pote, c'était pas prévu ça. Chaque personne est unique, il est irremplaçable. Il m'avait appelé avant l'été, on projetait de se voir cet été... mais ça ne s'est pas fait, il ne m'a pas contacté, son malaise avait peut-être commencé. Pendant l'enterrement, j'ai revu un ami commun perdu de vue, ça fait du bien. Pendant l'enterrement on voit aussi comment ça se passerait pour nous... cette église, ces chants, cette ambiance, ce froid glacial insupportable. Voir tous ces gens réunis pour lui, c'était beau, nous avons tous des souvenirs avec lui, nous ne nous connaissons pas pour la plupart, il y a des jeunes de mon âge que je n'ai jamais vu, mais je devine qu'il s'agit d'amis d'études supérieures qui ont fait le déplacement, je pense même deviner d'instinct un très bon ami à lui, beau mec très bonne situation, avec qui il partagé une forte amitié et qui a le même prénom que moi. Il n'avait pas d'idées suicidaires latentes à mon avis, c'est la réunion d'aléas de la vie qui ont poussé à cet acte je pense. A l'annonce de son suicide, j'ai été choqué mais je n'ai pas réalisé sans doute l'ampleur du truc... c'est une fois l'enterrement terminé, rentré chez moi, que je me suis vraiment rendu compte que je ne le reverrai plus jamais.
Je garde de toi l'image du mec souriant toujours en train de déconner, tu m'as fait grave rire pendant des années
Qui aurait pu penser à une telle issue dramatique
J'avais plus de raisons suicidaires que toi, tu devais bien le cacher alors...
A un moment de ta vie tout a été chamboulé et tu ne t'en es pas remis, sans doute cette déception amoureuse
Tu adorais cette musique, aujourd'hui elle me fait pleurer, je te rends hommage aujourd'hui avec ça, je ne t'oublierais jamais

Mon fameux collègue de travail occupe, comme vous le savez, beaucoup mon esprit. Cette obsession je l'ai rarement ressenti. Je le côtoie au quotidien depuis quelques années et mon attirance pour lui va crescendo depuis un déclic il y a quelques mois, auparavant je ne prêtais pas plus que ça attention à lui. Ce qui me conforte c'est que cette attirance ne semble pas être à sens unique, je crois déceler chez lui des signes qui me laissent penser que je l'intéresse, et bien sûr c'est réconfortant et jubilatoire: il y a donc une chance que l'issue de tout ça soit favorable d'où l'intérêt de ne pas précipiter les choses, il ne faut pas que je me jette sur lui en l'embrassant fougueusement dans les toilettes, il faut au contraire trouver le moment opportun pour que les choses se fassent naturellement. Il me reste donc à créer des conditions propices à un tel événement, s'il doit avoir lieu bien entendu. Cet événement je l'imagine ainsi: des mains qui se frôlent, de légères caresses, nos regards qui se croisent et se fixent suivis d'un baiser langoureux... voilà ce que ça pourrait être, sans dire un mot, c'est un peu un rêve je l'avoue, mais il n'y a pas trente six possibilités non plus. Je travaille bien sûr à mettre en place toutes ces conditions favorables à une telle issue, si elle doit avoir lieu bien entendu.

J'ai beaucoup de signes qui laissent à penser que je suis carrément amoureux de lui. Dès le matin au réveil, j'ai son image en tête. Son absence pour congés me tourmente et j'en suis presque malade perdant tout intérêt à bosser, parce que je me rends compte que ma motivation à aller bosser n'est pas le travail mais le fait de voir mon fameux collègue de travail. J'ai aussi tendance à prêter moins d'attention à mes autres collègues de travail, ils deviennent presque invisibles et je n'hésite pas à raccourcir une discussion avec eux afin d'aller retrouver mon fameux collègue de travail qui lui est bien sûr plus intéressant à mes yeux. Ayant pris conscience de cela, j'essaye tout de même de modérer ce comportement et de rectifier le tir pour  ne pas que mes collègues se demandent ce qu'il m'arrive ou qu'ils se sentent froissés. Son regard est parfois lumineux, brillant, ses pupilles se dilatent quand on se regarde dans les yeux pendant plusieurs secondes, et c'est communicatif: ça m'a troublé plus d'une fois, je retrouvais ça dans les yeux de mon ex mari (à l'époque où il m'aimait bien sûr!). J'ai parfois des érections en sa présence, parfois je "mouille", ça fait parti de mon quotidien. Je me suis documenté sur internet sur les signes amoureux. J'y retrouve ce que je viens de dire sur le regard et j'ai trouvé une explication à ce qui se passe chez moi en sa présence (et peut-être chez lui également), en voici le schéma pour résumer:

Bref, je me retrouve dans les divers éléments concernant les signes cliniques de l'état amoureux que j'ai pu lire sur internet, et je crois reconnaitre des signes chez mon collègue de travail, pas de doute donc je suis bien accroc à mon collègue de travail.
Après ces explications un peu scientifiques, je suis tombé sur une page internet (http://www.aufeminin.com/astro/08amoureux/08amoureux0.asp) sur laquelle après avoir entrer ta date de naissance tu as les trois principaux signes astrologiques avec qui tu es censé être le plus compatible amoureusement. Je ne crois pas trop en l'astrologie mais je fais le truc par curiosité. Le verdict tombe: parmi les trois signes les plus compatibles je trouve le signe de mon ex mari (drôle de coïncidence...), et un autre signe que je connais également: le signe de mon fameux collègue de travail...

Nous avons tous des périodes où nous avons un très fort appétit sexuel, personnellement ma dernière grande période date de cet été. Vous avez d'ailleurs pu lire quelques récits de ces aventures estivales sur ce blog (Plan à quatre, Plan à trois, A peine arrivé déjà servi, Les dunes du sexe). Je me souviens aussi de cette journée chaude cet été sur une plage assez loin de chez moi, où un mec est venu me proposer de me mettre de la crème solaire (la drague à deux balles!), je me suis laissé faire allongé sur ma serviette, puis il a commencé à me toucher les parties intimes jusqu'à ce qu'il prenne en bouche mon machin, étant très relax et très bien sous ce soleil puissant et chaud je n'avais pas tardé à venir à ma grande surprise de manière incontrôlée dans la bouche de ce visiteur d'un jour, j'en étais même confus et je m'en excusais auprès de lui, il me répondit que ce n'était pas grave. Une heure après, me baladant dans les dunes, un mec me cherchait en exhibant fièrement son joli membre, en salope que j'étais ce jour là, je ne pouvais pas résister, je m'approchais de lui et m'occuper de son membre turgescent, je me régalais et il finit par jouir sur mon torse ce qui provoqua ma deuxième éjac de la journée, sous les yeux du premier mec qui s'était occupé de moi tout à l'heure, parce qu'il était venu mâter. Je vous laisse imaginer l'image que ce premier mec a eu de moi, il a du me prendre pour un nymphomane ou un  insatiable, peu importe je ne connaissais personne, j'étais libre de faire ce que je voulais: je me sens encore plus en totale liberté sexuelle quand je suis loin de chez moi, être loin de chez moi dans un nouveau "terrain de chasse" permet de combler plus facilement sans tabou mon appétit sexuel.
Ces périodes à très fortes envies sexuelles sont récurrentes et souvent plus courtes au fil de l'année qu'en été, ces périodes hautement "testostéroniques" à fort appétit sexuel, alternent avec les périodes sexuelles dites "normales" qui sont plus faciles à gérer, c'est-à-dire les périodes où le sexe n'est pas la priorité des priorités, les périodes où l'organisation de ta journée n'est pas faite en fonction de tes pulsions sexuelles et des moyens à mettre en œuvre pour les assouvir  (plage, sauna...). Parce que dans les périodes hautement "testostéroniques", il faut être rassasié au risque d'être mal parce que l'on a un manque, un manque qui peut t'amener presque vers un mal-être ou un début de déprime. Étant célibataire, je n'ai pas un homme à disposition pour assouvir mes besoins sexuels. Cette chasse au plaisir avec des mecs (différents de surcroît) n'existerait pas chez moi je pense si j'étais équilibré à 100%: c'est révélateur d'un déséquilibre, il faudrait être hypocrite ou aveugle pour le nier. Ce déséquilibre s'explique notamment par le fait de ne pas avoir un mec à soi et par le fait d'avoir une sexualité minoritaire dans la société et de ne  pas l'assumer en cachant cette homosexualité. Bref, ces périodes à très fortes envies sexuelles sont révélatrices d'un déséquilibre, d'un mal-être enfoui, et le remède qui fonctionne à cela c'est donc de se taper des mecs, plein de mecs. Mais ce remède ne sera plus efficace à un moment, c'est du temporaire, du transitoire, c'est une période de ma vie que je peux arrêter du jour au lendemain, je l'ai d'ailleurs déjà fait il y a quelques années (en étant avec un mec pendant longtemps).
Comme vous l'avez lu récemment j'ai des sentiments que je qualifie d'amoureux envers mon fameux collègue de travail, et le tactile et le sexuel je l'obtiens donc avec des mecs d'un jour, voilà l'équilibre que j'ai niveau mec aujourd'hui. Le but, ou le rêve, est de concilier ces deux choses en une seule: avoir le tactile et le sexuel avec mon fameux collègue de travail dont je suis secrètement amoureux. En espérant que ce rêve devienne un jour réalité...

Je me suis récemment épilé une partie du sexe avec une crème dépilatoire "peaux sensibles". C'est la deuxième fois que j'utilise ça. Auparavant j'utilisais un rasoir, mais parfois je me coupais, la crème dépilatoire a le gros avantage d'être plus indolore... sauf quand on laisse trop longtemps la crème agir. Et c'est ce qui s'est passé sur mes couilles, il n'y a pas énormément de poils sur les couilles mais voulant être homogène je mettais cette fois-ci de la crème dépilatoire sur les couilles. Au bout de 7 minutes j'enlève la crème dépilatoire qui est sur une partie de mon pubis avec la spatule, je fais ça délicatement, les poils s'en vont laissant place à une peau douce. Puis j'enlève la crème dépilatoire sur les couilles. Ensuite je vais sous la douche et je rince abondamment la zone traitée. Ensuite, je me sèche et j'applique une crème hydratante... et là c'est le drame: la crème hydratante appliquée sur mes couilles me brûle, c'est insoutenable, une des parties les plus précieuses de mon anatomie est en souffrance, je dois retourner sous la douche rincer mes couilles et enlever cette crème hydratante qui me brûle les burnes. En fait j'ai laissé trop longtemps la crème dépilatoire sur mes couilles, la peau des couilles est plus sensible et plus fragile, la crème dépilatoire a fait son boulot, elle a détaché les petits et fins poils de mes couilles mais vu qu'elle a eu beaucoup de temps pour agir elle s'est attaqué à la peau de mes couilles. Résultat: j'ai eu mal pendant douze heures. Au bout de trois heures, la douleur s'estompait mais dès que je me touchais les burnes, j'avais mal. La douleur partie, j'ai pu aller au sauna le lendemain comme je l'avais prévu. Cette fois-ci j'ai remarqué que ça b*ndait beaucoup sous la douche, et ce genre de réaction anatomique est communicatif. Il y avait de la bonne teub de jeunes mâles. J'ai remarqué un jeune mâle qui était très avide de sexe, il était au sauna avec une de ses connaissances puisqu'ils se parlaient régulièrement. Dès qu'il se passait quelque chose il était intéressé pour voir de plus près et éventuellement se joindre au mouvement. A un moment je suis au hammam, j'ai son pote à côté de moi, je me mets à le toucher et sa teub se met au garde-à-vous. Je le p*mpe direct. Le fameux mec avide de sexe arrive et il se met devant, le pote se met à le p*mper: il a une putain de bonne teub visuellement à mâter mais aussi en bouche parce que je vais lui bouffer la teub dans la foulée, un régal. Il y a du brouillard mais j'aperçois les yeux d'autres mecs présents dans le hammam qui regardent naturellement dans notre direction, un ou deux tenteront une approche sans succès parce que sans charme. Ces deux jeunes potes s'occuperont énergiquement de ma teub, le jeune avide de sexe adore p*mper, il alterne la mienne et celle de son pote, de même pour moi et pour le pote. Le pote finira par jouir en se br*nlant alors que je p*mpais à quelques centimètres de son visage la grosse teub de son pote. Il part direct à la douche tandis que je reste avec le mec avide de sexe dans le hammam pour finir la partie. Il décharge sur lui. Moi j'ai encore mon jus, je peux encore m'amuser avec d'autre(s) partenaire(s) d'un jour, si j'en trouve bien entendu. Quelques minutes plus tard, je trouve un mec sympa que j'avais vu tout à l'heure sous la douche. On va en cabine. Pas de pénétration (je ne fais jamais en sauna), il est debout je suis à genoux face à sa teub, et il jute, le sperme dégouline sur mon torse. Et moi, j'ai encore mon jus en moi, et je ne déchargerais pas au sauna ce jour là.

Cela fait un moment que je n'ai pas donné de nouvelles de mon fameux collègue de travail. Il est toujours présent dans mon esprit, et je le kiffe toujours davantage. Aujourd'hui je pense qu'il est vraiment gay ou alors bi, dans tous les cas je suis persuadé qu'il aime bien les garçons. Il est mon rayon de soleil au travail, et son absence quand il est en congés se fait cruellement sentir chez moi: absence de motivation à travailler et envie d'être en congés. Nous nous sommes rapprochés depuis plusieurs semaines, nos discussions sont plus approfondies, plus longues, plus personnelles... au fil du temps je me suis dévoilé, il me connaît mieux désormais. Il est possible qu'il sache que je suis gay... Comme je l'avais écrit ici, j'ai vu deux de ces amis facebook cet été. Ces deux amis ont la particularité d'être gay, j'ai eu une relation sexuelle avec l'un d'eux il y a des années et l'autre a un profil sur un site gay. J'avais discuté avec le premier cet été sur une plage. Et j'ai même réussi à aborder le deuxième, j'ai franchi le pas, l'ayant vu plusieurs fois sur une plage, je l'ai tourné autour et l'ai abordé, ça a été un grand défi pour moi. Mon objectif d'alors était de connaître l'orientation sexuelle de mon collègue de travail via un de ces amis gay facebook, c'était mon "idée géniale" du moment. Je me disais que ce n'était pas un hasard que je tombe sur ces amis gay facebook, je me disais que c'était une opportunité d'avoir des infos sur mon collègue de travail. Je n'ai rien su... pas facile d'aborder ce sujet au bout d'une demi heure. Avec le recul, je pense que ce deuxième ami gay facebook a dû penser que je le draguais... c'est même certain, mais la seconde fois que je parlais avec lui, n'arrivant pas à avoir les renseignements que je voulais et le trouvant inintéressant et prétentieux, je décidais de le zapper. Par contre, ces deux amis facebook peuvent avoir fait allusion de mon existence à mon fameux collègue de travail vu que je leur ai dit mon prénom et donné des infos sur mon job (ces infos concernant mon job avaient pour but de les faire réagir du genre: "ah bein tiens j'ai un pote qui travaille là aussi il s'appelle...", et bien non pas de réaction de ce genre). Bref si l'un deux est arrivé à parler de moi à mon collègue de travail, cela veut dire que mon collègue de travail est désormais clairement au courant de mon orientation sexuelle et sait que je fréquente les plages naturistes. C'est peut-être pour cela que je sens qu'il y a comme une barrière qui a été levée chez lui. Un truc qu'il m'avait dit il y a quelques semaines avait retenu mon attention, il m'avait dit ceci: "je suis un garçon sensible". Je ne sais pas quoi en conclure, un mec qui avoue à un autre mec qu'il est sensible ça n'est pas fréquent parce qu'un mec met en général en avant sa virilité et non pas sa sensibilité... ça sous entend peut-être quelque chose, comme s'il voulait me donner un indice supplémentaire du style "je suis comme toi...".
Nous nous sommes donc rapprochés...amicalement. Il y a quelques temps je l'ai reboosté parce qu'il n'avait plus le moral et était démotivé, j'ai gagné des points, il a vu qu'il pouvait compter sur moi, je l'ai rassuré. Bref il voit clairement que je l'apprécie et que je suis prêt à l'aider. On rit ensemble. Je me confie à lui, il se confie à moi. Nous n'avons jamais parlé de nos orientations sexuelles, dans mes rêves j'imagine que si j'arrive un jour à le découvrir par lui ça sera non pas par des paroles mais par des caresses... mais aujourd'hui nous sommes proches "amicalement" et c'est déjà une belle avancée, si cela doit évoluer ça évoluera... En ce qui me concerne, il est clair que je suis amoureux de lui comme vous vous en doutez.

Il est assis sur un banc, non loin de l'abri où le jogger s'était fait faire une gâterie par un mec il y a quelques jours, jogger qui ne sera pas là aujourd'hui. Il fume, et il boit de la bière. Il est mignon, il a du charme. Il me regarde. On se regarde. Mais nous détournons nos regards quand ils se croisent. Je m'assois un peu plus loin. J'attends. Il ne bouge pas. Il a déjà bu deux canettes de bières. Au bout d'un moment il bouge et je décide de le suivre dans les chemins parsemés de feuilles mortes. Il est jeune. Il s'arrête au bout d'un chemin et je lui adresse la parole. Je lui propose d'aller dans les buissons s'il est intéressé. Il me dit qu'il ne connait pas trop l'endroit, et qu'il est un peu perdu, il a trouvé ce parc drague sur internet. Je le mets en confiance et lui indique qu'il n'a qu'à me suivre dans les buissons, et qu'on verra arrivé si on fait quelque chose. Je lui dis qu'il pourra arrêter dès qu'il voudra et qu'il n'y a pas d'obligation à quoique ce soit. "Je ne sais pas trop comment ça se passe, ce qu'on doit faire..." me dit-il. Je lui dis qu'on peut se s*cer. Il m'avoue qu'il n'a jamais eu de rapport avec un garçon, c'est sa première fois avec un mec, il a une copine depuis un moment, mais que ça devient routinier et qu'il veut essayer avec les mecs. Je suis surpris, je tombe sur un mec qui n'a jamais eu de rapport avec un mec, ça ne m'est jamais arrivé ça. Et contrairement à certains, je ne suis pas fan de ça, initier quelqu'un ne me crée pas une excitation supplémentaire, mais peu importe parce que je suis déjà fort excité parce qu'il est très mignon. Ses paroles sont tellement surréalistes, il n'y connait absolument rien aux mecs et il ne s'en cache pas, il aurait pu essayer de masquer sa totale inexpérience avec les mecs, mais il dit ce qu'il en est, à cause de l'alcool sans doute. Il est un peu plus jeune que mon petit frère (mais majeur je précise). Je le s*ce. Elle est bien dure. Et j'ai comme l'impression que sa copine ne doit pas faire ce genre de truc parce que ses gémissements sont très expressifs, comme si c'était la première fois qu' il se faisait s*cer. Les bières qu'il a bu ont servi à le désinhiber: "Tu fais ça bien..." me dit-il. Puis je me relève, et ma teub bien turgescente s'offre à lui. "Tu veux que je..." me dit-il. "Ouai... j'aimerais bien... si tu veux" réponds-je. Il se met à genoux. Il regarde ma teub. Il approche sa bouche timidement. Sa bouche est ouverte, et elle se rapproche de ma teub. Et là il me demande "tu as quel âge?". Je mens grossièrement sur mon âge, je donne donc l'âge que les jeunes de son âge avec qui j'ai eu des plans me donnent à chaque fois. Je ne voulais pas que nos années de différence d'âge puissent être un éventuel obstacle à ma gâterie, sa bouche étant tellement près de mon sexe, ça aurait été rageant! "Je ne sais pas comment on fait... je donne des coups de langue?" me dit-il timidement. Je suis surpris, je n'ai jamais entendu ça, ça me semble tellement simple de faire ça, la première fois que j'ai s*cé, j'ai réussi tout de suite sans conseil. "Tu suces, tu fais comme si c'était une sucette" réponds-je. Comment expliquer à quelqu'un comment on taille une pipe? Vous auriez dit quoi vous? J'ai trouvé que ça, l'analogie avec la sucette. Il introduit donc ma teub dans sa bouche, dans un premier temps il ne suce que le gland, puis progressivement va plus loin. Je lui demande si c'est bon la teub, et il me répond en souriant que oui c'est bon. Sa bouche est très chaude, ce qui est très agréable et compense son inexpérience dans cette activité buccale (rythme pas très rapide). "Tu embrasses?" me demande-t-il. Je lui réponds négativement en lui expliquant que je n'embrasse que quand je suis amoureux. Mais je devine qu'il a envie. Je fais donc une exception (j'en fais souvent d'ailleurs) et je l'embrasse. On se réoccupe de nos teubs avec nos bouches. Puis il sent que ça va venir, il est à genoux et il propulse ses jets dans les feuilles mortes par terre, tandis que moi, debout, je balance mon foutre également dans la foulée. J'ai donc servi de cobaye, il voulait tester les mecs. Ma teub est le premier zgeg qu'il a eu en bouche. Vu que je suis le premier mec avec qui il a eu une relation sexuelle, il est fort probable qu'il s'en souvienne longtemps même s'il avait bu un peu. Vu qu'il a bien giclé et qu'il gémissait en se faisant bouffer la teub, je pense que ça lui a plu. Il me donne ses impressions, et les différences qu'il y a avec une fille quand on s'embrasse, il sentait les poils de ma barbe de deux jours. Il me dit être un peu dans les nuages, l'alcool est encore présent et il a franchi un cap dans sa vie de mec. J'en profite pour lui indiquer de faire gaffe quand on taille une pipe, c'est-à-dire de ne pas prendre le sperme dans la bouche même si c'est à la mode et excitant dans les films d'aujourd'hui. Son jean est un peu sali au niveau des genoux, à cause de sa position quand il s'occupait de ma teub... il avait les genoux dans les feuilles mortes et humides. "On va me demander comment j'ai fait ça... je dirais que je suis tombé" me dit-il. Ca va, c'est pas trop méchant, c'est plus discret et moins équivoque qu'une trainée blanchâtre sur un pull noir par exemple!

Les faits remontent à plusieurs années. A l'époque je fréquentais des coins louches assez régulièrement, c'était l'époque où ces endroits étaient assez fréquentés, les coins drague. Un soir après être allé au ciné puis siroté quelques verres dans un bar entre potes et avant de rentrer au domicile familial, j'allais me baladé seul dans un parc. Un homme d'environ 50 ans m'approche et me tourne autour. Il est lucide et n'essaye pas de me draguer. Il n'est pas hideux, mais je suis jeune et je préfère les mecs de mon âge. Ses propos sont clairs. Il me dit qu'il sait très bien que je suis attiré par les mecs de mon âge plutôt que les mecs de sa classe d'âge, il trouve ça normal et évident, il ne se voile pas la face, ça montre son intelligence sur le sujet. Il me dit ce qu'il recherche. Il recherche à voir quelqu'un régulièrement pour des "caresses". Et il propose en échange de cela une rémunération: bref il veut que je couche avec lui régulièrement contre rémunération. Cette proposition se résume ainsi: il souhaite me donner de l'argent contre des "caresses", bref il me propose de faire la pute. Je suis assez décontenancé, c'est la première fois que ça m'arrive d'entendre ça: j'ai une valeur marchande. Il n'a rien d'un pervers, il est éduqué, il inspire confiance et les règles sont claires: du fric contre des "caresses". Je ne suis bien sûr pas intéressé, je ne suis pas une pute. Mais je suis courtois avec les gens polis. Je ne reste pas lui demandé quels sont les "tarifs". Il me dit comment il procède, il prend le numéro de téléphone de la "pute" et il appelle quand il a envie de "caresses" pour convenir d'un rendez-vous tarifé. Je lui signifie gentiment que je ne suis pas intéressé. Il revient à la charge, je prétexte alors que je cherche uniquement des plans à trois, ce à quoi il me répond "ça peut s'arranger, j'ai un autre contact, un jeune comme toi...". J'arrive à clore la discussion de manière polie. Je ne suis pas du tout intéressé à mettre un pied dans ce système. Mais des jeunes acceptent bien entendu de rentrer dans ce système, ça leur assure une source de revenus non négligeable pour s'acheter les trucs à la mode ou pour sortir en boîte ou tout simplement pour acheter de quoi manger (le gay style Cosette). Ce n'est pas top, mais les deux parties sont consentantes, et chacun y trouve son compte: l'un a de la chair fraiche qu'il ne peut plus avoir, et l'autre gagne des sous en monnayant son corps, mais les dégâts sur le psychisme pour la "pute" peuvent être sérieux et irréversibles, à éviter donc.

Je ne le vois de près que l'espace d'une minute à peine, mais sa beauté est resplendissante, le genre de mec que je kiffe. Il court, il est en short très court, ça met en valeur ses très belles jambes. Il a les cheveux courts et son apparence est soignée, même pour faire un simple footing en nature. Il a tout l'attirail du parfait coureur professionnel: tenue et podomètre ou cardiomètre au bras. Il est arrivé déboulant en courant d'un petit chemin étroit que les coureurs n'empruntent pas en général, ces derniers préfèrent les grandes et longes allées qui sont nombreuses dans ce grand parc. Par contre, ce petit chemin est souvent emprunté par les mecs qui viennent draguer, un nid (pour faire des trucs coquins) dans des buissons se trouvant à proximité. Je vois ensuite ce sportif courir devant moi dans une grande allée et sa façon de courir, qui n'est pas des plus virile sans toutefois être choquante, me laisse émettre l'hypothèse qu'il pourrait être gay. A une centaine de mètres plus loin, il y a un abri avec sanitaires. Il prend cette direction et s'approche de l'abri toujours en courant. Il passe derrière l'abri, je ne le vois plus. Je me dirige également vers l'abri. Là je ne le vois plus, même pas au loin. Il a disparu. Par contre, un détail m'interpelle, la porte d'un WC est fermée. Je m'approche de cette porte sans faire de bruit et je tends l'oreille... je n'entends rien. Je décide d'actionner la poignée, la porte n'est peut-être pas fermée mais juste claquée et le WC est peut-être tout simplement vide. La porte est verrouillée. Il y a donc quelqu'un. Je tends de nouveau l'oreille, j'entends de légers bruits mais rien de significatif jusqu'au moment où j'entends une respiration plus forte pendant quelques secondes, une respiration de plaisir. J'imagine donc qu'il y a deux personnes dans ces toilettes, et qu'elles ne jouent pas au scrabble. Je m'éloigne du site en restant tout de même à proximité en m'asseyant sur un banc qui donne vue sur cette fameuse porte. Au bout d'une dizaine de minute, j'aperçois un mec qui sort du WC. Ce n'est pas mon style, je ne trouve rien d'attirant chez ce mec, il s'est déjà exhibé devant moi plusieurs fois, mais je n'ai aucune attirance pour lui. Une minute après, une autre personne sort de ce même WC... il s'agit de mon fameux coureur. Je suis scotché, j'ai loupé une belle occasion. Le beau coureur s'est fait sucé dans les toilettes par un mec plus que banal, voir pas beau par rapport à lui. Ce devait être un plan suce programmé puisque le coureur est donc allé directement dans le WC, où l'attendait le mec au physique banal. Je reconstitue le scénario: ils ont fait leur petite affaire, le coureur a joui, l'autre mec est sorti, le coureur s'est essuyé la teub et est sorti une minute après. Ensuite je suis allé faire mon curieux, je suis allé dans ce WC est j'y ai aperçu une trainée blanchâtre au sol: de la liqueur de mâle. A tout hasard, j'ai noté l'heure et le jour de cette petite histoire, au cas où j'aille de nouveau me promener dans ce coin autant que ce soit le jour et l'heure où ce beau coureur va faire son footing! Par contre, faire des trucs dans les toilettes je ne suis pas fan, c'est mieux dans les buissons... parce que c'est en nature et parce qu'un troisième peut arriver éventuellement...

"Ici la Voix.
A tous les habitants.
La Voix a une annonce de la plus haute importance à vous faire.
La Voix ajoute un commandement aux douze commandements de la Voix.
Voici ce treizième commandement:
Avec préservatif, toujours tu baiseras. Dans la bouche, du sperme, jamais tu ne prendras.
C'est tout... Pour le moment".